Monday, March 26, 2007

Massacre sonore...reloaded( le retour du disque rayé)






Un morceau que 'jaime beaucoup, dommage que j'ai oublié le passage que je préfère ( surtout le phrase "sing for the teatchers that told you that you couldn't sing" car ca me rappelle un certain souvenir d'enfance, un jour ou nue maitresse qui s'est moqué de moi devant toute la classe prarceque je chantais avec toute l'émotion qui m'étais donnée et a suscité la moquerie de mes camarades de classe, je n'avais que 9 ans, j'étais rentrée en larmes la maison" alors je lui réserve le dernier couplet.



P.S: Maman, papa frangins et autres, désolée pour le dernier couplet ( estimez vous heureux que 'jai chanté la version " semi-censurée" du morceau! :)




Juste au cas ou ca vous intéresse, voici les paroles:


Sing-The dresden dolls


There is this thing that's like touching except you don't touch
Back in the day it just went without saying at all
All the world's history gradually dying of shock
There is thing that's like talking except you don't talk
You sing
You sing

"Sing for the bartender sing for the janitor sing
Sing for the cameras sing for the animals sing
Sing for the children shooting the children sing
Sing for the teachers who told you that you couldn't sing
Just sing " (le passage que j'ai oublié, oups :p )

There is thing keeping everyone's lungs and lips locked
It is called fear and it's seeing a great renaissance
After the show you can not sing wherever you want
[ these lyrics found on http://www.completealbumlyrics.com ]
But for now lets just pretend that we're gonna get bombed
So sing

Sing cause its obvious sing for the astronauts sing
Sing for the president sing for the terrorists sing
Sing for the soccer team sing for the janjaweed sing
Sing for the kid with the phone who refuses to sing
Just sing

Life is no cabaret
We don't care what you say
We're inviting you anyway
You motherfuckers you'll sing someday...
You motherfuckers you'll sing someday...

Sunday, March 18, 2007

Bonjour...............je ne veux pas vous parler!





Par où commencer? ummm....bonne question!

En écoutant quelques histoires de routine, évoquant des tensions entre certaines personnes, j'ai eu ces quelques pensées:

Pourquoi doit-on parler avec des gens avec lesquels nous n'avons aucun point commun, aucun centres d'intêret communs,avec lesquelles le courant ne passe pas ( pour une fois c'est as la faute à la STEG :p )?

Me diriez vous: pourquoi s'en soucier? Eh bien étant donné que l'on soit dans un groupe social (de n'importe quel type qu'il soit), celà apportrait (à cause de normes socio-culturelles) des tensions entre les membres du groupe concernés, impliquant même les autres,mais celà n'est qu'un autre pare de manche.

J'accuse (bien que je ne veuille le faire) essentiellement notre culture arabo-muslmane, qui en appellant à une paix inter individus, par la force et les vertus du dialogue. On se doit de dire bonjour à des personnes qui ne nous signifient rien, même pas un soupçon et si jamais on omet cette "règle" (bien qu'il n'y ait de concensus réel, formel au sujet, vu que) on est tout de suite considéré comme étant un anti-social, un prétentieux, un égoiste, etc.

D'un autre côté si on se plie à cette "règle", on se doit de sympathiser avec les personnes en question, leur envoyant un sourire béat, s'eforcant de discuter dans des sujets très courants qui datent de Xtemps , juste pour simuler que l'on est sur la bonn longueur d'onde, mais même si une certaine harmonie flotte dans l'air, à un certain moment le caractère de chaun commence à faire surface, chacun essaye d'imposer son avis, " au diable l'art de la conversation, de l'écoute, et tout autre concept relatif à la conversation définis par la sociologie...", donc à un moment donné il y aura quand même des tensions. Un autre aspect de la chose, qi on s'efforce de parler et de sympathiser avec "ces autres gens"( euh non je ne cible personne rahou, wallah... :) ), on est amené à jouer la comédie," au diable la sincérité".


Je préfère donc garder mes quelques neurones actifs pour des conversations constructives, enrichissantes et spontanées, que de jouer la comédie et prétendre sympathiser avec des gens qui me feraient perdre mon temps précieux ( et inversement) au lieu de profiter de chaque moment de cette vie, imprévisible, qui risque de se dissiper à n'importe quel moment.

P.S: Pour qu'il n'y ait pas de confusions, si il y a des personnes à qui 'jai pas adressé la parole ca fait un bail, ce n'est pas à cause de ma vision du "bonjour forcé", mais par simple timidité ( oui, moi, timide! =o^_^o= ), donc n'hésitez pas à m'adresser la parole :p.

Sur ce, vivent les rayures, la science et à bas la comédie! :)

Friday, March 02, 2007

When sunny........met Dar joued....


Voici le sort de toute femme qui désobéi à son époux....mais là cette femme souris gentiment, timidemnt lorsqu'l vient la ramener à leurmaison, de derrière les barreaux de "Dar joued", "la maison d'obéissance".*



Voilà j'ai appliqué quelques effets avec photoshop à une photo que j'ai prise de Sunny, modèle fidèle à mon objectif ( main non petits pieds chéris, soyez pas jaloux, vous serez toujours numéro un dans mon coeur...),lors de notr fameuse Sortie à Dar ben abdallah!



Striped romance....when pink meet blue or when I met the blues!


Petit clin d’œil à mes deux tourtereaux favoris (j’ai pris cette photo pour leur rendre hommage, qui a dit que les pieds c’était stupide et qu’ils n’exprimaient rien ? :p), qui me laissent encore à croire que la romance existe toujours dans un monde ou certaines personnes qui choquent, lorsque vous découvrez qu’elles aiment non pas avec leur cœur ou leur tête mais avec autre chose de manière à vulgariser de nobles sentiments!

Bien des réflexions qui se trimbalaient dans ma petite cervelle rongée par les résidus des films à l’eau de rose de Disney, ou de la série « princesse Sarah » ( bon je l’ai regardé en arabe, la fameuse « Saly » qui a fait chialer toute une génération de petites filles, bon ya quand même une fille qui détestait ce manga, et avec un peu de recul je la maudit(la série biensur( les parethèses, ca reprend…)) pour toutes les larmes que j’ai versé dessus, ce qui m’a valu la moquerie de mes frangins : ) , oups je m’éloigne du sujet….

Le week-end précédent j’ai été profondément déçue par deux personnes totalement aux antipodes, la première était tout simplement ingrate ( mais ça je m’en doutais déjà, mais comme je ne suis pas du genre à porter un jugement très vite, j’ai pu en avoir le cœur net et m’assurer que c’était le cas, pour ne pas dire une belle ordure, juste ingrate!). La seconde personne m’a caché un truc, qui ne me concernait en aucun cas, mais je ne sais pas pourquoi ça m’a dérangé de l’apprendre, du coup dur dur le début de semaine, ensuite viens le tour de la migraine, le ganglion ( ou nerf ou je ne sais quelle merde) qui s’est enflé à la base de ma tête, sans doute mes neurones ont pété un fusible en essayant de remettre de l’ordre dans mes idées et la migraine continue durant les trois jours suivants, même en parlant à maman je ne trouve par de consolation, je pleure beaucoup, bref la cata quoi, lol je mrappelle une des phrases que je lui ai balancé, que j’ai dire un peu partout pendant la semaine, à diverses personnes « je veux aller voir un psy pour me faire un lavage de cerveau, c’est plus facile que d’essayer d’y emmener tous les cons de la tunisie! ».

Le mardi l’un des deux jours ou j’ai cours au cours de la semaine ( bien que ça sera pas le cas la semaine prochaine, ça sera tous les jours ou presque, à raison de 6 heures d’affilée d’un prof invité, c toujours utile à savoir :p ), je débarque à ma bonne vieille fac cherchant ma chère amie, heureusement que j’ai fait sa connaissance cette année,grâce à qui, nous avons passé les longues ( et rares) heures de cours à nous foutre de la gueule du monde et à étouffer nos fous rires, mais je ne trouve pas cette oreille attentive qui a pour habitude d’écouter nos ragots autour d’un bon café ( se référer au blog de mon frangin pour apprécier la philosophie du café : )))) ).J’essaye de la joindre, son téléphone est éteint : Deux suppositions viennent à mon esprit :

1 – Elle est vraiment déprimée ou en rogne contre quelque chose ou quelqu’un ( pas moi en tout cas)

2- Elle s’est trouvée un boulot ( hypothèse la moins probable, à mon sens)

Je restais donc sans la consolation de paroles d’un chère amie, qui, me seraient utiles que pour sentir que il y a quelqu’un qui m’écoute et essaye de me consoler, étant donné que le sens des paroles n’arrange pas grand chose à mon état, tête de le comme je suis !

Et puis, le directeur de la maison de jeunes qui ne vient jamais + ma migraine à la con qui veut pas partir!
Mercredi matin j’appelle mon amie, pour connaître la raison de son absence la veille, elle me dit qu’elle va plus assister auxcours, ( désolée S***a de dévoiler ta vie au grand jour, mais tu es quand même retsée anonyme : ) ) et qu’elle a trouvé un boulot, ca m’a fait un pincement au cœur au début, mais vu qu’elle pense y trouver son équilibre et que c’est sa décision, je ne devrais qu’être heureuse pour son bonheur ! :) Par l’occasion, si tu me lis là, coucou et bon courage pour le boulot ;).

Jeudi, toujours cette migraine, et ce truc gonflé comme une citrouille !


Vendredi, changement de look : jupe+ballerines ( non sansouna, pour le sac à main, pas encore envie de la totale : ) , mais avec mon bon vieux sac qui pendouille sur le côté : ) ), ma touffe de cheveux en queue de cheval ( 9attett ma3dnouss), un peu de make up, histoire de reprendre le dessus, changer un peu de la routine, brise printanière qui parfume l’ambiance, bien que ma lourde veste est trop lourde à porter dans mes bras, et trop chaude pour la journée, mais à 18h00 risque qu’on se les caille….longue journée de cours, 6 heures de suites de plein de blabla conceptuel sur la gestion de la connaissance incertaine ( bien que j’ai trouvé cela très intéressant) puis sur le Data Warehousing et Data Mining, là, vraiment, j’ai failli m’assoupir sur ma table (non, pas encore de cahier pour le moment :p ).
Mais quand même il y avait un truc qui a apporté en moi une certaine sérénité, la vue d’un visage qui m’inspire toujours le calme, bien que je ne parle plus, par concours de circonstances ( saleté de circonstances) à la personne à laquelle il appartient.


Bilan de la semaine, encore une crise de déprime, que j’ai cru avoir enterré depuis ma cinquième année secondaire, qui m’a donnné une énorme migraine, sans our autant pouvoir trouver une solution à tous ces petits tracas qui ont fit déborder le verre de ma zénitude habituelle, la transformant en un torrent de délires et du ni’mporte quoi en gros…. faudrait que je retrouve mes bonnes vielles habitudes et l’inspiration que j’ai perdu depuis un bout de temps, bien que du temps j’en ai eu en veux tu en viola, et que le stock de chaussettes a intégré de nouveaux articles :p ………

Tiens, ca me rappelle que j’ai repris le bidouillage des photos avec photoshop…..la suite dans le post suivant !