Saturday, December 30, 2006

Aidkom mabrouk (ou Saddem, le mouton et la théorie du complot)


A l'instard de Saddem Houssein, cet être doux,isolé dans la cellule de la mort (à l'heure actuelle ou j'écris ce post)attend son heure, le moment ou le bourreau diras "bismillah" et **£!?!$' (cesuré, pour ne pas heurter la sensibilté de certain(e)s (cependant je vais assister à la scène, pourvu ke je prenne des photos intéressantes, donc ceux ki ne supportent pa la vue du sang, je vous grantie que c'est pas des rayures ke vous allez voir aujourd'hui(encore cette manie d'ouvrir des parenthèses qui revient... )))!

Mais ca ne demande pas un algorithme de Datamining (chouaya vice scientifique ne fait de mal à personne) pour faire une corrélation entre l'exécution de Saddam Hussein et la fête de "Aid il Idh7a", est ce un symbole?

En tout cas, (désolée pour la tristesse du sujet , allez un sourire pour égayer le tout :D ) Inchallah 3idkom mabrouk et snin dayma, et que cette fête soit une occasion pour aider les plus démunis et penser à ceux qui souffrent ailleurs!

3 comments:

Anonymous said...

aidek mabrouk a toi aussi!!
ce n'est pas une coincidance qu'il est exécuté ce jour précis: c'est un message pour tt président arabe opposé aux states: haw ach bach ysir fik kan tji dhedna, nedhb7ouk kil Alleouche:))

allez bon mechwi

marou said...

Désolé Salma, à part la rougeur du sang, le parallèle s'arrête là.
Sadem n'a rien de l'innocent bélier qu'on offre en holocauste à Dieu.

Anonymous said...

Un " révérend Père " a visité en septembre dernier des villages de la rive droite de l'Oubanghi ( limite du Congo français ) et voici son récit de ce qu'il a vu :

On amène les esclaves sur le marché et celui qui ne peut pas se payer le luxe d'un esclave entier achète seulement un membre qu'il choisit à son goût. S'il choisit le bras, le client fait une marque longitudinale avec une sorte de craie blanche et le propriétaire attend qu'un autre client choisisse un autre bras et lui fasse la même marque. Chacun choisit ainsi les bras, les jambes, la poitrine etc..., et lorsque tous les membres ont été marqués, on coupe tout simplement la tête du pauvre esclave, qui est immédiatement dévoré sur place. Ces scènes sont atroces, mais s'expliquent après tout par la nécessité de satisfaire le plus respectable de tous les besoins : la faim.